Maître José Mpanda se réjouit de constater que grâce à son plaidoyer, l’Université de Mbuji-Mayi (UM) est totalement pris en charge par le trésor public, près de 30 ans après.
Maître José Mpanda se réjouit de constater que grâce à son plaidoyer, l’Université de Mbuji-Mayi (UM) est totalement pris en charge par le trésor public, près de 30 ans après.
Me José Mpanda Kabangu peut se frotter les mains pour avoir milité pour la prise en charge l’Université de Mbuji-Mayi @Photo Droits tiers
En effet, cette université était sous la responsabilité de la Minière de Bakwanga (MIBA). Malheureusement, avec les difficultés rencontrées par cette entreprise, la charge de l’UM était sur les épaules des parents d’étudiants. Les actes de l’exécutif ne peuvent que rassurer le ministre de la Recherche scientifique et Innovation technologique. Qu’il s’agisse du fonctionnement de cet établissement ou encore des salaires du personnel mécanisé, l’exécutif national s’active comme sur des roulettes.
D’ailleurs, le recteur de cette alma mater, Ghislain Disashi a témoigné que le processus de paie a débuté depuis 1er novembre à Equity BCDC. Il s’agit du paiement de trois mois de salaire (juillet, août et septembre 2022).
M. Disashi a laissé entendre que bien avant le début de la paie (en cours), l’université dont il a les commandes, avait décidé de réduire le paiement de la deuxième tranche des frais d’étude des étudiants qui est d’ailleurs passée de 125 à 115 dollars américains.
Reconnaissant, le professeur a exprimé sa gratitude au ministre José Mpanda qui s’est battu bec et ongles aux côtés de son collègue de l’ESU pour que l’UM survive surtout lorsque sa faculté de Médecine avait été fermée sous prétexte de non viabilité. Grâce à l’implication de Maître Mpanda, la médecine a été rouverte dans cette université à la grande satisfaction des étudiants.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.