Le Panel des Experts de la société civile aborde avec alarme dans un document d’évaluation du processus électoral parvenu mardi 09 août 2022, la problématique du financement des élections prévues en 2023.
Le Panel des Experts de la société civile aborde avec alarme dans un document d’évaluation du processus électoral parvenu mardi 09 août 2022, la problématique du financement des élections prévues en 2023.
Le Premier ministre, Sama Lukonde et le président de la Commission électorale, Denis Kadima lors d’une rencontre à l’Hôtel du gouvernement @Photo Droits tiers
Dieudonné Mushagalusa Cirhuza affirme que nul n’ignore la problématique actuelle du financement des opérations électorales et du jeu de « ping-pong » entre la CENI et le gouvernement sur l’éventuel plan global des décaissements, l’un accusant l’autre de manque de transparence dans la gestion des passations des marchés publiques et l’autre qui met en doute la bonne foi de son partenaire.
Situation ambiguë, souligne le Panel des Experts, ce film ressemble à une “stratégie pour distraire le peuple congolais afin de montrer à la face de l’opinion publique que la responsabilité de l’échec de l’un ou de l’autre doit être recherchée ailleurs”, dénonce cette plateforme.
M. Mushagalusa parle des incertitudes et tant d’autres signaux forts et alarmants, en plus du pantalonnade du processus électoral, qui font redouter l’immatérialité des élections dans le délai constitutionnel. D’où cet “appel de l’expert électoral à toutes les parties prenantes au processus électoral de se saisir du dossier élections’ et d’agir en conjugaison des efforts pour préserver les acquis de la démocratie”.
L’inspecteur principal provincial de la division provinciale de l’EPST|Kasaï 1 a été suspendu de ses fonctions pour une durée de trois mois.
Après son règne très autorisé à Kinshasa d’où il a finalement été expulsé pour son rôle très compromettant, l’ambassadeur Vincent Karega vient d’être désigné pour représenter le Rwanda en Belgique. Un choix d’objectif pour étouffer les oppositions contre Kigali en vogue et recruter des élites congolaises pour la cause du M23, déstabilisateur des institutions démocratiques du Congo-Kinshasa.