Une salle de classe s’est effondrée jeudi au Zimbabwe, faisant au moins 17 blessés parmi les élèves, ont annoncé les autorités, qui ont attribué l’accident aux activités minières illégales.
Une salle de classe s’est effondrée jeudi au Zimbabwe, faisant au moins 17 blessés parmi les élèves, ont annoncé les autorités, qui ont attribué l’accident aux activités minières illégales.
L’école primaire de Kwekwe, une ville à environ 200 km au sud-ouest de la capitale Harare, est située près de deux mines d’or. La direction de l’école s’était plainte dans le passé d’activités minières illégales sous l’établissement.
Une fille “grièvement blessée” a été hospitalisée, a indiqué à l’AFP une responsable locale, Judith Tobaiwa. Des photos diffusées sur les réseaux sociaux montrent un trou béant au milieu du sol dans la classe, par lequel ont disparu bureaux, chaises et cartables.
Dix-sept élèves de 10 à 11 ans ont été blessés, selon Mme Tobaiwa.
“Ils dynamitent encore et toute l’école est en train de trembler”, a-t-elle ajouté lors d’un échange téléphonique depuis le lieu de l’accident.
Le ministre des Affaires provinciales Larry Mavima a indiqué que les autorités avaient ordonné la fermeture de l’école et tentaient de trouver une alternative pour les élèves.
Nous sommes très choqués par cet accident et déçus que les mineurs n’aient pas pris les mesures requises pour sécuriser la zone, a-t-il ajouté, précisant qu’une enquête devra déterminer les responsabilités.
Le sous-sol du Zimbabwe, pays enclavé d’Afrique australe, recèle de vastes réserves d’or.
Le secteur a attiré des centaines de milliers de mineurs informels qui opèrent souvent de manière illégale.
En 2020, un rapport du centre de réflexion International Crisis Group (ICG), estimait que 1,5 million de personnes s’étaient tournées vers les mines artisanales en raison des difficultés économiques.
Les accidents sont relativement fréquents dans les mines désaffectées, en particulier lorsque le sous-sol est inondé par les eaux de pluie.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).