Les affrontements opposent mercredi 1 février les Forces armées de la RDC (FARDC) aux rebelles du M23. L’aviation congolaise est entrée en action mardi 31 janvier infligeant ainsi des lourdes pertes aux rebelles du M23.
Les affrontements opposent mercredi 1 février les Forces armées de la RDC (FARDC) aux rebelles du M23. L’aviation congolaise est entrée en action mardi 31 janvier infligeant ainsi des lourdes pertes aux rebelles du M23.
Carte de la cité de Kitshanga montrant l’axe Mweso et Kitobo @Photo Google Maps
Des sources locales précisent que des détonations à l’arme lourde et légère sont entendues dans la cité de Kitshanga et en direction de Mweso.
Toute la journée de mardi 31 janvier, l’armée a lancé des offensives contre les rebelles. Des sources militaires ont précisé que plusieurs positions des rebelles ont été pilonnées par les Soukhoï – 25 de l’armée congolaise.
Sur ses réseaux sociaux, le Mouvement du 23 mars a dénoncé les bombardements de ses positions et des villages habités.
Jusqu’à 7h35 ce mercredi, l’armée congolaise n’a fait aucune déclaration à ce sujet. Pendant ce temps, les affrontements se poursuivent. Les FARDC se comportent très bien aux fronts. La cité de Kitshanga est toujours sous le contrôle des rebelles du M23. L’armée contrôle les villages de Ndondo et Mweso. La dernière position des rebelles du M23 est installée près du village de Kitobo à plus ou moins 4km de Kitshanga.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).