La soeur Esther Alice Luzolo a confirmé la sortie de son album intitulé : “Golgotha”, lors d’un entretien téléphonique accordé à Ouragan.cd, depuis la France où elle se trouve en studio.
La soeur Esther Alice Luzolo a confirmé la sortie de son album intitulé : “Golgotha”, lors d’un entretien téléphonique accordé à Ouragan.cd, depuis la France où elle se trouve en studio.
Affiche de l’album “Golgotha” de la soeur Esther Alice Luzolo @Photo Droit tiers
Elle a dévoilé le contenu de son album qui salue l’oeuvre de la rédemption accomplie par Jésus-Christ à la croix. “Au travers cet album, je vais parler de l’oeuvre de la rédemption, c’est-à-dire, ce que notre seigneur et sauveur Jésus-Christ a eu à accomplir il y a de cela 2000 ans à Golgotha. Parce que Golgotha, c’est le lieu où il a accordé le salut de l’humanité en ayant condamné toutes les oeuvres du diable”, a-t-elle expliqué.
L’album est à la fois un arsenal de belles mélodies et des collaborations. “Golgotha est un mélange de plusieurs styles de musique. L’Éternel a permis que nous puissions le réaliser avec mon frère de tous les temps, Christian Mbuta, l’homme à pied-d’œuvre de notre premier album “Ngolu nayo Nkolo”. Mais aussi avec plusieurs autres chantres de Goma, de Lubumbashi. Le frère Jules, la soeur Mariam…ils sont tellement nombreux et que Dieu les bénisse partout où ils se trouvent”, a fait savoir Esther Alice Luzolo.
Déjà disponible sur toutes les plateformes de téléchargement, l’album “Golgotha” véhicule le message de l’amour, de la bonté de Dieu rendue visible à travers l’oeuvre de la croix.
L’album, “Ngolu nayo Nkolo” sorti bien avant, a permis une ascension fulgurante de cette artiste dans l’univers de la musique gospel du Congo et d’ailleurs.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).