OPINION – Une marie qui ment sa propre population. Malgré les gros moyens que l’État leur donne, la légèreté caractérise quelques dirigeants de la capitale.
OPINION – Une marie qui ment sa propre population. Malgré les gros moyens que l’État leur donne, la légèreté caractérise quelques dirigeants de la capitale.
L’exemple de cette grosse fake news sur l’incendie d’une embarcation à Maluku est un exemple patent. L’irresponsabilité a atteint le sommet de l’Etat. Des médias se sont fait manipulés par le pouvoir public. Avec tous les services qu’ils ont à disposition, comment on peut tromper la population. L’ère Ngobila indigne. Le ministre provincial de l’Intérieur s’est empressé de donner la nouvelle sans vérifier.
Preuve que la plupart des informations que ce gouvernement provincial communique à la population, sont fausses. Pire la même information a été relayée sur Twitter par la conseillère en communication du gouv. De bonne foi, les médias ont crû à cette source officielle. Voilà qui relève le vrai débat sur l’exactitude des sources officielles.
Si déjà, les officiels mentent, que reste-t-il encore de cette république. N’est-ce pas que les thèses d’une république bananière se confirment. Une sorte de jungle où les autorités surfent sur la banalité, la désacralisation de la personne humaine.
En annonçant cette nouvelle, la ville sait combien de familles ont été effondrées ? Combien de médias ont perdu leur crédibilité ? L’image du pays est écornée. Le temps est arrivé de la balayer la médiocrité.
Professeur Kole Atikiza Maurice, historien
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Une quinzaine de personnes ont été tuées ces deux derniers jours par deux groupes armés en Ituri, province du nord-est de la République démocratique du Congo où, selon l’ONU, plus de 300 civils ont été massacrés depuis début décembre, a-t-on appris jeudi de sources locales.