Une conférence sur la littérature féminine est annoncée pour le lundi 20 mars, à Kinshasa.
Une conférence sur la littérature féminine est annoncée pour le lundi 20 mars, à Kinshasa.
La conférence sur la littérature féminine attendue le lundi 20 mars à l’Unikin @Photo Droits tiers
Ce rendez-vous scientifique est organisé par la faculté de Droit de l’Université de Kinshasa en collaboration avec le Collectif Envie d’Ecrire, sous le thème : “existe-t-il une littérature féminine ?”
Dans l’esprit des organisateurs, il s’agit d’un moment d’échanges devant aboutir à une valorisation de la littérature féminine.
Comme intervenants, on a sélectionné les grands passionnés de la littérature à savoir Élisabeth Betty Mweya Tol’ande, Japhet Tekila et Marthe Bosuandole.
La conférence se tiendra à 10h, dans la salle Akele de la faculté de Droit de cette alma mater.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).