Alors que le patriotisme est mis à l’épreuve avec l’agression rwandaise, le Bloc uni pour la renaissance et l’émergence du Congo rappelle à l’opinion publique en général et particulièrement à tous ses membres, la nécessité de démontrer d’une manière plus expressive les valeurs patriotiques prônées dans l’idéologie du parti.
Julien Paluku, leader du Bloc uni pour la renaissance et l’émergence du Congo @Photo Droits tiers.
Dans une récente communication sur la situation sécuritaire dans l’est du pays, le président national du BUREC, Jean-Marie Kasereka a rassuré que « le parti s’aligne dans la résistance et la résilience en soutenant les institutions du pays, les Forces armées congolaises ainsi que le président de la République, Félix Tshisekedi ».
Rappelant son attachement à sa vision qui consacre la lutte acharnée contre, entre autres les vices, l’immédiateté, le gain facile et le court-termisme, le BUREC, avec en tête son autorité morale Julien Paluku, met en garde contre toute tentative à la participation d’un mouvement insurrectionnel ou rébellion, comportement qui constitue un acte d’auto-exclusion et vaut radiation du parti sans procédure disciplinaire, conformément à l’article 20 du statut du parti.
Donc, les membres et cadres du Bloc uni pour la renaissance et l’émergence du Congo sont avertis. Le parti rappelle qu’aucun dérapage ne sera toléré, peu importe les circonstances de lieu ou de temps. « Dans son emblème comme dans ses textes, le BUREC met un point d’honneur à la loyauté au sens absolu, comme n’a eu cesse d’en faire montre notre autorité morale, Julien Paluku Kahongya, ministre du Commerce extérieur, dans son engagement héroïque sur divers fronts pour l’intérêt supérieur de la nation », souligne le document.
Le BUREC dénonce, à son tour, les actes terroristes et barbares dont se sont illustrés les militaires rwandais sur le sol congolais. Le BUREC réclame, par la suite, des sanctions contre le Rwanda, auteur principal du regain de l’instabilité dans la partie orientale du Congo.