Le beatmaker congolais, Kratos Beat s’apprête à marquer son empreinte en RDC, où les rythmes s’entrelacent et les voix s’élèvent. Avec son tout premier album, il ouvre une dimension musicale unique, fruit de ses réflexions et de son audace.
Le beatmaker congolais, Kratos Beat s’apprête à marquer son empreinte en RDC, où les rythmes s’entrelacent et les voix s’élèvent. Avec son tout premier album, il ouvre une dimension musicale unique, fruit de ses réflexions et de son audace.
Kratos Beat sort bientôt son premier album @Photo Droits tiers.
« Mon album sera très différent des autres. Non pas parce que je suis un compositeur musical avant tout, mais parce que je veux que vous écoutiez ce que les artistes ne veulent pas que je fasse pour eux », a-t-il éclairé sur Facebook. Cet opus est une réponse aux barrières rencontrées lorsque le chanteur tentait d’imposer sa vision.
Dans cet album, ses influences résonnent. Mais Kratos Beat n’imite personne. « Pour ceux qui ont eu l’occasion d’écouter quelques titres de mon album ou le tout, disent que j’ai chanté comme Papa Wemba, Lokua Kanza, Gims, Soprano, comme tant d’autres artistes du monde, mais moi je sais que je suis le fruit de tous ceux que j’écoute ». Sa musique, inclassable, promet une expérience nouvelle : une « sauce différente » qu’il a mijotée avec soin, prêt à bousculer les habitudes auditives.
Kratos Beat a fait un pari risqué : « Imaginez un jeune congolais vous faire une musique sans mabanga (dédicaces), sans saleté et qui ne sera jamais censurée. Oui, c’est possible », a-t-il ajouté. Aujourd’hui, le chanteur est impatient de partager sa voix et son univers avec le monde.