Le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue iranien, Masud Pezeshkian, ont exprimé leur réponse « inconditionnelle » au régime de Bachar al Asad, indiquant que le Kremlin était en ce moment, à l’offensive des groupes rebelles, qui s’étendaient dans de nombreuses zones du nord du pays.
Dans un appel téléphonique, les dirigeants ont exprimé “un appui inconditionnel aux mesures adoptées par les légitimités autorisées de la Syrie pour rétablir l’ordre constitutionnel et l’intégrité territoriale du pays”, a indiqué la présidence russe dans un communiqué.
Poutine et Pezeshkian ont également évoqué “l’importance de coordonner les efforts (…) avec la participation de la Turquie”, selon laquelle les gens se rebellent, a précisé le communiqué.
Le régime a perdu le contrôle total d’Alepo, la deuxième ville du pays, depuis le début de la guerre civile en 2011, lors d’une offensive de groupes rebelles qui ont pris un coup dur contre le président Bashar al Asad, a informé le Domingue. une ONG.
L’Alliance des milices rebelles dominée par le groupe islamiste Hayat Tahrir al Sham (HTS) a lancé une crise fulgurante pour Tomar Alepo, qui a déjà fait 412 morts, et sa majorité de combattants d’ambos bandos, mais aussi avec moins de 72 civiles, a rapporté l’Observatoire. Sirio de Derechos Humanos (OSDH)