Ce résultat retentissant est le fruit de l’esprit managérial imprimé par le nouveau patron, assorti de son dynamisme et sa rigueur depuis sa nomination à la tête de cette régie financière par le chef de l’État, Félix Tshisekedi. Lors de son entrée en fonction, Utshudi avait donné le ton, dévoilant, de manière claire, sa vision consistant à lutter contre les antivaleurs qui gangrènent la société congolaise, notamment la corruption et le détournement de deniers publics.

Demeurant toujours attaché à ses engagements, le numéro un de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations (DGRAD) a instauré une discipline de fer au sein de la régie dans le seul et unique objectif de favoriser la mobilisation accrue des recettes. Cette approche a donc permis de restaurer la confiance au sein de l’administration et surtout de maximiser les recettes de l’État.

Ainsi, les résultats enregistrés ce jour par la DGRAD renforcent la capacité gouvernementale à financer ses politiques publiques. A travers cette mobilisation des recettes, les moyens nécessaires sont mis à la disposition de l’exécutif pour la matérialisation de son programme d’action afin de répondre aux attentes de la population pour son développement. D’aucuns pensent que les résultats engrangés par la DGRAD au mois de novembre ne sont que le prélude de ce que compte réaliser la régie avec le concours infaillible de l’administration. Par cette performance, le nouveau patron de cette régie affiche dorénavant son engagement à maintenir le cap, en mettant en œuvre des réformes orientées sur l’efficacité, la transparence et la bonne gouvernance.

Au-delà de cette performance et des chiffres, la régie reflète maintenant la capacité des institutions publiques congolaises à se muer et à jouer pleinement leur rôle dans la construction d’un État moderne et performant. Par ces résultats obtenus en novembre, la DGRAD s’affiche désormais comme un pilier essentiel dans la mobilisation des ressources intérieures du pays.