Organisée par l’entremise de l’Unité Gouvernance, paix et sécurité (GPS), organe phare du Comesa, du 24 au 26 septembre 2024, la conférence régionale sur le contrôle des comptes, la jeunesse et la sécurité climatique se décline en différents panels. Et Jules Alingete Key y a apporté l’expérience de la RDC en matière de lutte contre la corruption et ses corollaires de malversations financières.

Le champion du contrôle a priori a fait part de sa méthodologie pour rétablir une gouvernance saine de la chose publique. Jules Alingete s’est élevé en référence continentale en matière de lutte contre la corruption. Grâce à la patrouille financière, la RDC a gagné en respectabilité sur l’échiquier mondial. On en veut pour preuve, la remontada du pays de Félix Tshisekedi sur l’indice de perception de la corruption en RDC, en gagnant 15 places en l’espace de trois ans. La RDC est, en effet, passée de la 170e place des pays les plus corrompus du monde à la 155e. D’aucuns estiment que l’académie d’Alfred Nobel devrait aussi s’intéresser à la méthodologie financière de Jules Alingete dont l’apport à la résilience socio-économique de la RDC mérite d’être partagée pas seulement sur le continent africain.

Les assises de Lusaka ambitionnent, en effet, de donner aux jeunes dirigeants d’Afrique australe les moyens d’améliorer leur résilience financière contre le changement climatique. Plusieurs thèmes y sont abordés. Parmi lesquels “l’amélioration du contrôle des comptes COMESA par les Services de contrôle des États membres”, et “façonner la résilience financière au climat pour l’adaptation et l’atténuation des enfants et des jeunes”.

La conférence réunit les décideurs politiques, les auditeurs financiers, les militants de la jeunesse et les experts environnementaux en vue créer des stratégies innovantes pour un avenir durable.