L’athlète congolais, Dominique Lasconi Mulamba, a fait l’objet d’un contrôle positif à une substance de la famille des stéroïdes lors des Jeux olympiques de Paris 2024, comme annoncé dimanche 11 août par l’International Testing Agency (ITA).
L’athlète congolais, Dominique Lasconi Mulamba, a fait l’objet d’un contrôle positif à une substance de la famille des stéroïdes lors des Jeux olympiques de Paris 2024, comme annoncé dimanche 11 août par l’International Testing Agency (ITA).
Un échantillon prélevé sur l’athlète […] a révélé un résultat d’analyse anormal pour le métabolite du stanozolol (un stéroïde) anabolisant androgène présent sur la Liste des interdictions de l’Agence mondiale antidopage, précise l’ITA.
Le prélèvement a eu lieu lors d’un contrôle hors compétition le 4 août à Paris. Dominique Mulamba a été informé du cas et a été provisoirement suspendu jusqu’à la résolution de l’affaire. Le contrôle du sprinteur de 22 ans a renvoyé “un résultat anormal” pour un stéroïde anabolisant androgène présent sur la liste des interdictions de l’Agence mondiale antidopage (AMA).
Pour se défendre, le Congolais a le droit de contester la suspension provisoire devant la chambre antidopage du Tribunal arbitral du sport (TAS) et demander l’analyse de l’échantillon B. Ce contrôle antidopage positif s’ajoute à une liste d’athlètes également épinglés pour dopage lors de contrôles effectués durant les JO de Paris 2024, parmi lesquels les judokas Sajjad Sehen et Mohammad Samim Faizad.
Engagé sur 100 mètres aux Jeux olympiques de Paris, Dominique Lasconi Mulamba a été éliminé dès le premier tour des séries s’arrêtant avec une 7e place en 10′53″. L’athlète congolais avait, pourtant, suscité de l’espoir en athlétisme après avoir terminé 3e au préliminaire avec 10’54” lors de la même course.
L’arrestation lundi 2 septembre de Seth Kikuni Madidi, président du parti “Piste pour l’émergence (PE)” préoccupe au plus haut point l’ONG “la Voix des sans voix pour les droits de l’Homme (VSV)”.
L’ancien ministre de la Santé, Oly Ilunga Kalenga, a quitté lundi 9 septembre, la prison centrale de Makala, après avoir purgé une peine de cinq ans pour détournement de fonds publics. Arrêté en août 2019, puis condamné en mars 2020 pour le détournement de plus de 400 000 dollars destinés à la riposte contre le virus Ebola, Ilunga maugrée. Sa sortie de prison est considérée comme la fin d’un long feuilleton judiciaire que ses proches ont toujours qualifié “d’injuste”.
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