Le néo-commissaire général assume également les responsabilités à la Communication et à la Coopération décentralisée. Membre actif de la dynamique politique « Agissons et Bâtissons » dirigée par le sénateur Sama Lukonde, le jeune turc marche sur les traces de son mentor, Patrick Muyaya (porte-parole de l’exécutif national depuis 2021). Comme son modèle, le minime est un fervent militant du Parti lumumbiste unifié (PALU). Il fait partie de la coordination de la jeunesse de l’organisation politique, membre de la majorité au pouvoir (Union sacrée).

– Un parcours inspirant –

Tel un lieutenant aguerri, Babaka Phanzu a perfectionné ses compétences aux côtés de l’actuel ministre de la Communication et des Médias. Il a été assistant parlementaire durant la troisième législature de 2018 à 2021, secrétaire particulier au sein du gouvernement Sama I et II de 2021 à 2024, et premier suppléant aux dernières élections législatives provinciales de Kinshasa.

De toute évidence, ces expériences variées et enrichissantes ont forgé un professionnel talentueux et polyvalent, prêt à voler désormais de ses propres ailes. Bref, le jeunot est capable de relever les défis dans son nouveau rôle.

– Formation et compétences –

Actuellement inscrit à l’Institut diplomatique de Paris (IDP), Jared Babaka poursuit ses études en communication diplomatique pour acquérir des compétences de pointe. Il détient également un certificat du programme « The John Maxwell Team » sur le leadership et la bonne gouvernance. De plus, le « Muyaya en miniature » possède aussi des qualifications en Droit international et Relations internationales de l’Institut d’études géopolitique appliqués (EGA) de Paris.

En outre, la nouvelle voix officielle de Kinshasa est en deuxième et dernière année de Master en Droit des affaires à l’Executive management school of Paris (Emsp/Paris). Son engagement académique et son militantisme traduisent sa détermination à assumer les tâches de commandement en tant que porte-parole du gouvernement de Kinshasa.

Depuis plusieurs décennies, la ville de Kinshasa a perdu de son éclat, se transformant de « Kinshasa la belle » à « Kinshasa la poubelle » en raison d’un manque de planification efficiente. Cependant, cette triste réalité peut être surmontée par la nouvelle équipe gouvernementale avec un engagement sérieux à corriger les erreurs du passé et à initier des réformes significatives. De son côté, Jared Babaka Phanzu, avec sa vision claire et ses compétences aiguisées, le communicant en chef de Kin incarne l’espoir du renouveau pour la visibilité de la capitale congolaise.