L’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) tape du poing sur la table. La direction générale de cet établissement public a, dans un communiqué, informé les entreprises principales opérant dans les secteurs de mines, de télécommunications, nouvelles technologies de l’information et de la technologie, des industries brassicoles et limonaderie, des bâtiments et travaux publics, de cimenterie ainsi que des hydrocarbures que la pratique consistant à lancer des appels d’offres mettant en concurrence les producteurs ou fournisseurs des biens et services établis à l’étranger et leurs représentants ou distributeurs éligibles à la sous-traitance établis en RDC, constitue une manœuvre tendant à boycotter l’exigence de la politique nationale de la protection de l’industrie locale de la main d’œuvre congolaise et de l’émergence des entreprises locales suivant la vision du chef de l’État telle que reprise dans ses six engagements, notamment la création de l’emploi par l’entrepreneuriat et la diversification de l’économie nationale.
Le DG de l’ARSP Miguel Kashal Katemb. @ Photo Droits tiers.
L’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) tape du poing sur la table. La direction générale de cet établissement public a, dans un communiqué, informé les entreprises principales opérant dans les secteurs de mines, de télécommunications, nouvelles technologies de l’information et de la technologie, des industries brassicoles et limonaderie, des bâtiments et travaux publics, de cimenterie ainsi que des hydrocarbures que la pratique consistant à lancer des appels d’offres mettant en concurrence les producteurs ou fournisseurs des biens et services établis à l’étranger et leurs représentants ou distributeurs éligibles à la sous-traitance établis en RDC, constitue une manœuvre tendant à boycotter l’exigence de la politique nationale de la protection de l’industrie locale de la main d’œuvre congolaise et de l’émergence des entreprises locales suivant la vision du chef de l’État telle que reprise dans ses six engagements, notamment la création de l’emploi par l’entrepreneuriat et la diversification de l’économie nationale.
Elle a rappelé que l’exercice de la sous-traitance dans le secteur privé en RDC est réservé aux seules entreprises à capitaux majoritairement congolais éligibles. Par conséquent, l’ARSP avertit ces entreprises principales que tout contrevenant s’exposera aux sanctions prévues par l’article 28 de la loi du 8 février 2017 fixant les règles applicables à la sous-traitance dans le secteur privé.