Dans sa proposition de changement de la Constitution consultée par Ouragan, le professeur Jean-Bedel Otangela-N’Kumu plaide aussi pour l’irrévocabilité de la nationalité congolaise d’origine et la désynchronisation des Chambres parlementaires. Pour le politologue, la Constitution du 26 février 2006 a révélé des faiblesses substantielles par rapport aux objectifs fondamentaux initiaux fixés par le législateur, principalement les objectifs sécuritaires, ainsi que ceux relatifs à la viabilité de l’État et au développement socio-économique du pays. À haute voix, Iyoka préconise carrément le changement de la Constitution afin d’instituer un nouveau contrat social.