La DGA de l’OCC, Christelle Muabilu est arrivée dimanche à Lubumbashi dans le Haut-Katanga pour participer aux travaux préparatoires de la réunion ministérielle entre la RDC et la Zambie sur la congestion du poste frontalier de Kasumbalesa.
La DGA de l’OCC, Christelle Muabilu est arrivée dimanche à Lubumbashi dans le Haut-Katanga pour participer aux travaux préparatoires de la réunion ministérielle entre la RDC et la Zambie sur la congestion du poste frontalier de Kasumbalesa.
Christelle Muabilu, directrice générale adjointe de l’Office congolais de contrôle (OCC) @Photo Droits tiers
Situé à environ 90 km de la ville cuprifère, Kasumbalesa est le point de passage des camions transportant les minerais congolais (cuivre et cobalt) vers les ports de Tanzanie et d’Afrique du Sud. Ainsi, les officiels congolais et zambiens vont s’appesantir sur les stratégies à mettre en place pour mettre fin à cette situation.
Arrivée dimanche 05 décembre à Lubumbashi dans la soirée, la DGA de l’Office congolais de contrôle (OCC) a bénéficié d’un accueil délirant de la part des agents et cadres de l’établissement public. De même, elle a été portée en triomphe par les partisans du Congrès national congolais (CNC), parti de Pius Muabilu (le ministre de l’Urbanisme et habitat).
Pendant son séjour dans le Haut-Katanga, la représentante du directeur général de l’OCC va mener également plusieurs activités dans le but de relever les défis de cette entreprise publique au sud du pays.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Une quinzaine de personnes ont été tuées ces deux derniers jours par deux groupes armés en Ituri, province du nord-est de la République démocratique du Congo où, selon l’ONU, plus de 300 civils ont été massacrés depuis début décembre, a-t-on appris jeudi de sources locales.