Un vent nouveau souffle à la Fédération congolaise de football. L’instance dirigeante du football national a mis en service samedi 04 mars 2023 ses nouvelles plateformes numériques pour renforcer sa communication.
Un vent nouveau souffle à la Fédération congolaise de football. L’instance dirigeante du football national a mis en service samedi 04 mars 2023 ses nouvelles plateformes numériques pour renforcer sa communication.
Les membres de l’exécutif de la FECOFA lors de la présentation des nouvelles plateformes numériques de communication @Photo Droits tiers
Il s’agit d’une solution qui vient combler le déficit communicationnel autrefois reproché à la FECOFA. Le déploiement des plusieurs canaux de référence à l’instar de Twitter, LinkedIn, Instagram et YouTube ainsi que du site internet relooké constitue donc la réponse des dirigeants du football congolais à la piraterie mais surtout à l’usurpation de l’identité d’un label protégé.
Désormais, FECOFA RDC officiel est la marque choisie pour identifier les réseaux sociaux de l’organe faîtier du football congolais. Outre ces nouveaux canaux efficaces de communication, la FECOFA a également un nouveau logo, une nouvelle identité visuelle et une charte graphique dévoilés par le web master Omega Mputu.
D’après le secrétaire général de la FECOFA, seule le compte facebook est jusqu’à présent victime de la surabondance de fausses pages. “En effet, comme vous avez pu le constater, si aujourd’hui la FECOFA ne peut même pas utiliser son propre nom pour créer une page au nom qu’elle souhaite sur Facebook, cela veut dire que l’heure est grave. Nous demandons à ceux qui exploitent frauduleusement les noms FECOFA et/ou Léopards, attachés avec le mot Officiel ou tout autre assimilé, à procéder immédiatement à la reformulation desdites pages avec des mentions (fans, supports, groupes de fans ou autres), sans utiliser les noms FECOFA et/ou Léopards attachés avec Officiel. Parce que nous jugeons que l’équipe nationale appartient à toutes et tous et que nous ne pouvons interdire à un fan de se dire être un Léopard mais nous estimons, néanmoins, faire la différence entre l’Institution officielle et tous les autres sympathisants en termes de communication officielle”, a prévenu Belge Situatala.
Le chef de l’administration de la fédé a, à cet effet, annoncé qu’un moratoire de 48h a été donné à toutes ces pages non officielles pour mettre fin à l’usurpation de l’identité officielle de la FECOFA. “Nous accordons donc, à partir de ce jour, 48 heures, pour qu’après ce délai butoir, un signalement et une demande expresse de fermeture desdites pages (non officielles) soient formulés auprès de chaque plateforme et réseau social concerné“, a poursuivi Sitwatala.
De nombreux invités en l’occurrence Dieudonné Sambi, le délégué FIFA-CAF en charge de questions financières au sein de la fédération ont rehaussé de leur présence cette cérémonie solennelle consacrée à la présentation de ces nouveaux dispositifs de communication. Question de scruter davantage les contours du cadre opérationnel de cette nouvelle stratégie de communication digitale employée par la FECOFA.
Les hommes de médias présents à la manifestation ont salué ce changement positif et émis plusieurs propositions pertinentes en termes de matériels, contenus en temps réel et des rendus beaucoup plus professionnels.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.