Récemment nommés, les nouveaux cadres du parti “Alliance des Congolais bâtisseurs (ACB)” ont été officiellement installés.
Récemment nommés, les nouveaux cadres du parti “Alliance des Congolais bâtisseurs (ACB)” ont été officiellement installés.
Maître Guy Mafuta Kabongo, président national du parti politique “Alliance des Congolais bâtisseurs (ACB)” lors de son enrôlement à Tshikapa @Photos Droits tiers
La cérémonie a été présidée le 11 mars par le leader du parti, dans la commune de Kanzala à Tshikapa. “C’est un grand pas déjà franchi vers l’installation de notre parti politique dans tous les territoires. Nous avons nommé les cadres de la fédération de la ville et ceux des communes et là nous sommes venus les installer officiellement”, a déclaré Maître Guy Mafuta Kabongo.
Il a rappelé aux membres les ambitions politiques du parti. “L’occasion faisant le larron, nous avons rappelé quelques principes qui doivent guider l’action au sein de l’ACB et nous avons aussi passé en revue quelques ambitions de notre formation politique notamment devenir un parti phare d’abord de la province du Kasaï et aussi voir comment conquérir tout le Congo. C’est une ambition qui paraît difficile pour certains, mais nous nous croyons avec un travail méthodique, de l’abnégation et aussi le sérieux nous pourrons y arriver”, a fait savoir le président national de l’ACB.
À ce jour, l’ACB est implantée déjà dans les provinces du Kasaï central, Kasaï oriental, Kasaï, Kikwit au Kwilu et Kinshasa. Le parti créé en décembre 2022 s’aligne derrière la vision du chef de l’État au sein de l’Union sacrée. Il s’investit pour accorder un second mandat au président de la République du Congo (RDC).
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.