L’université moderne du Kasaï (UMK) a obtenu son arrêté de fonctionnement. Le document a été officiellement signé depuis le 10 janvier 2023, par le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, Muhindo Nzangi Butondo.
L’université moderne du Kasaï (UMK) a obtenu son arrêté de fonctionnement. Le document a été officiellement signé depuis le 10 janvier 2023, par le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, Muhindo Nzangi Butondo.
Les étudiants de l’université moderne du Kasaï lors de la cérémonie de collation des grades académiques et la clôture de l’année académique 2021-2022 à Tshikapa @Photo Droit tiers
Dans cette décision (arrêté), le ministre précise même les facultés autorisées. En plus, il prévient que ce document peut lui être retiré à tout moment si jamais les conditions qui y ont prévalues, ne restaient pas les mêmes.
Ému de joie, le président du Conseil d’administration (PCA) a fait savoir que son Dieu a agi. A cela, il faut ajouter les efforts de l’actuelle équipe décanale de l’université moderne du Kasaï.
Il a rappelé que l’UMK avait déjà été spumise à une enquête de viabilité, première étape établie par la loi en la matière pour qu’une institution supérieure et universitaire privée obtienne son autorisation de fonctionnement qui n’est rien d’autre que l’arrêté.
Précisons que l’UMK est la première institution universitaire au Kasaï à obtenir l’arrêté de fonctionnement. Elle l’a obtenu avant d’autres institutions supérieures et universitaires créées avant elle à Tshikapa. Cet arrêté vient donner pouvoir aux titres de ceux qui avaient déjà terminé à l’UMK.
L’arrêté de fonctionnement offre entre autres avantages a savoir :
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).