A Goma, la nouvelle loi régissant la CNSSAP expliquée aux agents publics de l’État
Les agents publics de l’État n’ont plus de raison d’avoir peur d’aller en retraite car la nouvelle loi régissant la CNSSAP garantit leur période post-travail. Aux assujettis de Goma au Nord-Kivu, les responsables de l’entreprise au niveau national ont expliqué vendredi le bien-fondé de ce texte aux avantages énormes.
Par Patrick Mputu
Les émissaires de la CNSSAP à Goma pour la poursuite de la vulgarisation de la nouvelle loi du 15 juillet 2022, portant régime spécial des agents publics de l’État @Photo Droits tiers
publié le 25 février 2023 à 13:47:44
Membre de la délégation, David Mihigo a rappelé que les fonctionnaires de l’État étaient obligés de s’accrocher à leurs postes de travail malgré leur âge avancé, parce qu’ils manquaient des garanties avant d’aller en retraite.
Désormais, la loi n°22/031 du 15 juillet 2022 portant régime spécial de sécurité sociale des agents publics de l’État donne des vraies assurances aux retraités et favorise la solidarité entre les jeunes et les aînés. Homogène, efficace, égalitaire, tels sont les attributs de cette législation.
Les assujettis à la CNSSAP (unique institution publique certifiée ISO 9001 en RDC) ont été également édifiés par les délégués du gouverneur militaire du Nord-Kivu.
Avant Goma, les émissaires de la CNSSAP étaient à Bukavu au Sud-Kivu où ils ont vulgarisé les progrès obtenus dans la couverture sociale dont la vision se trouve désormais d’ailleurs sédimentée dans le nouveau texte de loi.
L’objectif poursuivi par cette campagne de communication de proximité est d’informer, mieux de sensibiliser les agents publics de l’État sur les avantages d’appartenir à la Caisse nationale de sécurité sociale des agents publics de l’État (CNSSAP).
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Jamais un acteur politique n’a été giboyé comme Moïse Katumbi Chapwe. Depuis son retour d’exil, il est sous haute surveillance pour ses ambitions électorales. Son divorce politique avec l’Union sacrée de Félix Tshisekedi n’a fait qu’empirer sa situation. Stigmatisé pour les origines juives de son père, il a subi à la fois plusieurs interdictions de mouvement et des attaques physiques sur sa résidence. Même ses collaborateurs n’échappent pas au châtiment. Et comme prise de finition du pouvoir, la défunte loi Tshiani très mal enterrée vient d’être exhumée des décombres.