Les négociations en vue d’un accord de libre-échange entre l’Equateur et le Mexique sont “au point mort”, a estimé dimanche le président équatorien Guillermo Lasso.
Les négociations en vue d’un accord de libre-échange entre l’Equateur et le Mexique sont “au point mort”, a estimé dimanche le président équatorien Guillermo Lasso.
Cet accord commercial conditionne l’intégration de l’Equateur à l’Alliance du Pacifique, un bloc de libre-échange qui associe la Colombie, le Chili, le Mexique et le Pérou. En faisant partie de cette alliance, Quito aurait accès à plusieurs marchés asiatiques.
Mais les pourparlers coincent avec le Mexique: l’Equateur avait prévenu en décembre qu’il serait “impossible” de signer un accord de libre-échange avec Mexico si les droits de douane sur les crevettes et les bananes, principaux produits d’exportation du pays après le pétrole, n’étaient pas levés.
Or, le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a indiqué à son homologue équatorien que “les producteurs nationaux de bananes et de crevettes” ne souhaitaient pas affronter la concurrence équatorienne.
“L’intérêt de l’intégration de l’Equateur à l’Alliance Pacifique était d’avoir accès aux marchés asiatiques”, a souligné Guillermo Lasso, président d’Equateur, précisant que son pays établissait des liens commerciaux avec cette région de son côté.
Pékin et Quito ont récemment négocié en vue d’un accord de libre-échange qui devrait être signé dans les quatre prochains mois.
Guillermo Lasso a également engagé des négociations avec la Corée du Sud, le Canada, le Costa Rica et les Etats-Unis, l’un de ses principaux partenaires commerciaux.
Entre janvier et octobre 2022, les ventes totales de bananes ont atteint 2,705 milliards de dollars, et celles des crustacés, 6,274 milliards de dollars, selon la banque centrale équatorienne.
Les membres du parti politique “Les Congolais (LC)” peuvent à présent véhiculer l’idéologie du parti à leurs nombreux sympathisants disséminés à travers le pays.
Le militant Serge Mayamba de Filimbi refuse “d’être faussement accusé d’apporter les béquilles au député national Édouard Mwangachuchu”. “Je n’ai jamais alors jamais soutenu le député national Édouard Mwangachuchu”, sauf que j’ai donné mon point de vue sur mon Twitter en ces termes : “ne manipulons pas la justice car elle est indépendante, laissons la faire son travail”.