Le pont Lova s’est effondré mardi 10 janvier causant morts d’hommes.
Le pont Lova s’est effondré mardi 10 janvier causant morts d’hommes.
Vue de la rivière lova dont le pont est effondré ce mardi 10 janvier 2023 dans le secteur de Bapende en territoire de Tshikapa @Photo Droits tiers
La société civile locale a lancé l’alerte sans préciser le nombre des morts. Le gouverneur Pieme explique que le camion se rendait à Kitangwa en empruntant la partie de la RN1 qui a été contournée lors de la construction de la nouvelle route. “Le tronçon routier que le camion a emprunté n’est plus utilisé car lors de la construction de la RN1, ce tronçon a été contourné. Le pont était détérioré car abandonné”, a indiqué le chef de l’exécutif provincial du Kasaï. Des équipes ont été déployées sur le lieu de l’accident.
Pour la société civile locale, la cause de ce drame reste le poids des gros véhicules transportant les marchandises. “Un événement malheureux s’est produit ce mardi 10 janvier à 10 heures. Un sémi-remorque qui transportait les matériaux de construction du centre de santé Ndjindji a fait écrouler le pont Lova qui relie les villages Katanga et Kitangua. Il n’y a eu aucun survivant”, a expliqué à Ouragan.cd Adel Kabedi, responsable de l’Association “Union congolaise des personnes vivant avec le VIH (UCOP+)”.
L’effondrement du pont a directement interrompu le trafic entre la ville de Tshikapa et les entités du territoire de Tshikapa précisément le secteur de Bapende. Un coup dur pour la population du secteur de Bapende qui aura du mal à atteindre la ville de Tshikapa.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.