L’actrice égyptienne Menna Shalabi a été condamnée jeudi à un an de prison avec sursis après avoir été interpellée à l’aéroport du Caire en possession de bonbons au cannabis à son retour des Etats-Unis, a-t-on appris de source judiciaire.
L’actrice égyptienne Menna Shalabi a été condamnée jeudi à un an de prison avec sursis après avoir été interpellée à l’aéroport du Caire en possession de bonbons au cannabis à son retour des Etats-Unis, a-t-on appris de source judiciaire.
Première et jusqu’ici unique actrice arabe nominée pour un International Emmy Award, une récompense américaine, Mme Shalabi avait été arrêtée à sa descente d’avion le 25 novembre avec des sucettes et autres friandises au cannabis, dont la vente est légale dans certains Etats américains, selon un cliché aussitôt publié par la presse locale.
Arrêtée mais rapidement libérée en échange d’une caution de 50.000 livres, alors environ 2.000 euros, elle a été condamnée jeudi par un tribunal du Caire où son avocat, le médiatique Mohammed Abou Shoka, s’est présenté seul, ont rapporté à l’AFP des sources judiciaires.
Déclarée coupable de “détention de drogue”, sa peine d’un an de prison est assortie d’un sursis et Mme Shalabi devra payer une amende de 10.000 livres, soit 370 euros, ont-elles précisé.
Menna Shalabi occupe chaque année ou presque un rôle star dans les feuilletons de ramadan égyptiens, prisés dans tout le monde arabe, et tient le haut de l’affiche d’un ou plusieurs films en tête des entrées dans le plus peuplé des pays arabes avec 104 millions d’habitants.
A l’automne déjà, le public égyptien s’était déchiré autour du sort d’une autre célébrité: la chanteuse Sherine Abdel Wahab que sa famille venait de placer de force en cure de désintoxication.
La consommation de cannabis est répandue en Egypte, où aucun chiffre officiel ne filtre.
En 2019, le gouvernement avait réclamé de tester systématiquement les fonctionnaires après un accident de train meurtrier déclenché par un conducteur contrôlé positif à la drogue selon les autorités.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).