Il est le meilleur exemple de la gestion Tshisekedi basé sur la performance et la mobilisation des recettes. En 2022, le Dg de la DGI, Barnabé Muakadi a marqué les esprits par son management avec à la clé plus de 5 milliards de dollars américains mobilisés. Pour 2023, il promet de faire plus. Lui qui a récolté de nombreux prix au pays et à l’étranger pour sa gestion-référence de la DGI.
Barnabé Muakadi, le DG de la Direction générale des Impôts qui bat les records des recettes depuis son arrivée à la tête de cette régie financière @Photo Droits tiers.
Au président de Félix Tshisekedi, le Dg de la DGI a souhaité plein succès en 2023. Il n’a cessé de le rappeler que “Félix Tshisekedi, c’est le Moïse que Dieu a choisi pour délivrer la RDC”. Il lui promet de faire plus qu’en 2023. Au moment où le président Félix Tshisekedi a besoin d’argent pour financer plusieurs projets de développement à la base- programme 154 territoires et surtout pour faire face à la guerre, la Direction générale des impôts est prête à l’accompagner. Avec de cinq milliards de dollars mobilisés en 2022, Muakadi qui a battu le record depuis la création de cette entreprise, met cette prousse sur le compte du professionnalisme des agens et surtout du leadership du chef de l’État qui a activé la politique de la tolérance zéro dans le cadre de la lutte contre la corruption.
Reconnaissant au chef de l’État pour la confiance placée en sa personne, Barnabé Muakadi Muamba réaffirme sa détermination ainsi que celle de tous les employés de la DGI de travailler encore plus pour que son entreprise aille au-delà des assignations fixées en 2023.
Il est clair que le numéro un de la DGI et ses agents vont consolider les acquis et poursuivre les réformes nécessaires pour un fisc fort, efficace et efficient au service du développement de la République Démocratique du Congo.
De son plaidoyer sur la mise en application de la TVA pour élargir l’assiette fiscale, le Directeur général de la DGI compte sur l’appui du président de la République et de l’ensemble du gouvernement pour obtenir les instruments juridiques et techniques nécessaires à la réforme souhaitée, notamment en matière d’encadrement et de collecte de la TVA, rappelant que les impôts constituent l’instrument clé de la politique de développement du pays.