2023 : Gisèle Sola encourage les électeurs de Mont-Amba à s’enrôler massivement
Le délai-butoir approche. Plus que 9 jours restants pour la fin de l’opération d’enrôlement et identification des électeurs dans la première aire opérationnelle, conformément au calendrier électoral publié par la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Par Alexis Emba
Gisèle Sola Mwaka, haut cadre de la NOGEC-DYPRO, mobilise la population pour un.enrolement massif lors d’une matinée politique de la DYPRO à Kinshasa @Photo Droits tiers
publié le 16 janvier 2023 à 21:29:04
Gisèle Sola Mwaka, cadre de la NOGEC-DYPRO, multiplie les séances de sensibilisation de la population pour un enrôlement massif. Dans son fief électoral, elle continue à encourager les électeurs du district de Mont-Amba et ceux de la commune de Lemba à s’enrôler massivement.
L’objectif est de sanctionner sévèrement des politiciens médiocres lors des prochaines élections. Très engagée dans le combat aux côtés des leaders de la DYPRO (opposition républicaine) pour le renouvellement de la classe politique, elle s’est déclarée candidate aux législatives de décembre 2023. Pour cela, elle affûte ses armes pour affronter n’importe quel candidat lors des élections législatives ou provinciales.
Elle a le profil requis et des compétences à faire valoir. Elle est l’une des rares femmes congolaises à détenir une licence en mathématique- informatique et télécommunication.
Membre au sein de l’ONG Full Help international, elle est engagée dans la défense des droits de l’enfant et de la femme au sein de cette organisation citoyenne. La DYPRO, plateforme politique, pilotée par Me Constant Mutamba ambitionne de glaner plus de sièges lors des élections législatives et provinciales.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.