L’ONG “Dynamique Théo Kazadi” s’investit dans les travaux d’assainissement de la ville de Tshïkapa, au Kasaï.
L’ONG “Dynamique Théo Kazadi” s’investit dans les travaux d’assainissement de la ville de Tshïkapa, au Kasaï.
Les membres de la dynamique Théo Kazadi en réunion à Tshikapa @Photo droits tiers
Depuis deux semaines, cette organisation s’est lancée dans les travaux d’embellissement de certains coins de la ville. Il s’agit notamment du rond-point 3Z situé entre les communes de Mabondo et Mbumba.
Les travaux sont donc exécutés sur la route n° 1 dans le tronçon compris entre le pont reliant les collines de Kele et Dibumba jusqu’à dépasser légèrement le rond-point 3Z.
Selon David Kambala, les travaux sont exécutés pour répondre à la vision du chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à travers son programme de 145 territoires.
“Le soutien au chef de l’État ne peut aucunement se faire chaque fois de manière verbale mais il doit surtout se matérialiser en actes par des actions concrètes”, a-t-il dit, rappelant que leur autorité morale le député national Théo Kazadi Muayila, membre de l’Union sacrée, relaie cette vision à travers l’assainissement de la ville.
En effet, la route nationale n°1 présente des avantages majeurs sur le plan commercial. Elle facilite notamment le contact régulier avec les villes de Mbuji-Mayi (Kasaï oriental) et de Kananga (Kasaï central).
Déjà opérationnelle, cette route a positivement impacté sur la vie des populations des entités du territoire de Tshikapa notamment à Biakabomba, Kamuesha, Kakumba… . Sur cette route, le transport des marchandises est devenu aisé.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.