Le boulevard Lumumba est fortement menacé depuis les dernières pluies qui se sont abattues sur la ville de Tshïkapa.
Le boulevard Lumumba est fortement menacé depuis les dernières pluies qui se sont abattues sur la ville de Tshïkapa.
Une maison dont les trois murs écroulés sur le long du boulevard Lumumba dans la commune de kanzala ville de Tshikapa au Kasaï @Photo Drouts tiers
Cette artère principale menant vers l’aéroport de Tshïkapa risque de se couper en deux au niveau de l’espace SOGAGIK dans la commune de Kanzala où une érosion a déjà englouti une maison. Selon les témoignages recueillis sur place, le propriétaire de la maison a tout perdu. D’autres dégâts matériels ont été également signalés. Il s’agit de l’écroulement d’une maison de commerce mais aussi des pertes en vies humaines.
Vu l’ampleur des dégâts, le ministre provincial des Infrastructures, Henry Ditunga Beya, est descendu sur le lieu du drame pour s’enquérir de la situation même même s’il n’a apporté aucune solution. D’après lui, au regard de la gravité de la situation, la solution ne pourra venir que du gouvernement central.
Des experts et personnalités socio-politiques n’ont cessé d’alerter les autorités provinciales sur la dégradation de cette route d’intérêt communautaire.
Cette voie a été construite sans respect des normes requises en la matière. Les collecteurs ne canalisent pas bien les eaux de pluies. D’où la nécessité de construire des caniveaux solides pour bien évacuer les eaux de pluies.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.