Le Réseau des femmes leaders pour l’accès à la parole (RFLAP) salue la nomination de leur coordonnatrice, Sylvie Elenge Nyembo au poste de directeur général de la Radio télévision nationale congolaise, RTNC.
Le Réseau des femmes leaders pour l’accès à la parole (RFLAP) salue la nomination de leur coordonnatrice, Sylvie Elenge Nyembo au poste de directeur général de la Radio télévision nationale congolaise, RTNC.
Sylvie Elenge, nouvelle cheffe de la télévision publique félicitée par les femmes leaders @Photo droits tiers
Pour le RFLAP, la nomination à ce poste de leur cheffe constitue un pas significatif dans la promotion du leadership féminin en milieu professionnel. « Aussi, tenant compte de vos qualités intrinsèque et de votre rendement professionnel personnel, cette élévation constitue également un message pour la revalorisation du statut de la femme congolaise ; et ce, conformément à la vision du président de la République, Antoine-Félix Tshisekedi Tshilombo, à qui nous rendons les hommages les plus déférents », a indiqué le RFLAP dans son communiqué déposé à Ouragan.cd.
En cette heureuse circonstance, le RFLAP et ses membres rassurent à Mme Sylvie Elenge Nyembo, leur total soutien et surtout leur constante disponibilité à œuvrer à ses côtés pour la réussite de sa noble mission. « Puisse, l’Eternel notre DIEU, vous accorde la sagesse et l’intelligence nécessaires afin de mener à bien l’action de l’exécutif pour œuvrer en faveur de l’équilibre du genre et du leadership féminin dans les médias », a exhorté l’organisation, tout en souhaitant à la directrice générale de la RTNC un fructueux mandat.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.