Attendu à l’été dernier, le souverain pontife souhaite reprogrammer son périple apostolique en Afrique pour le mois de février 2023.
Attendu à l’été dernier, le souverain pontife souhaite reprogrammer son périple apostolique en Afrique pour le mois de février 2023.
Le pape François, ici au Vatican en 2017, est sorti de l’hôpital où il a été opéré du colon @AFP/ Vincenze Pinto
Le pape François a trouvé mardi 01 novembre l’occasion de reparler de son voyage reporté au Congo-Kinshasa, lors de sa rencontre en ligne “Building Bridges across Africa”, au cours de laquelle le chef de l’Église universelle catholique s’est entretenu avec des étudiants africains.
A ce stade, s’exprimant en espagnol, le pape affirme qu’il espère se rendre en République démocratique du Congo et au Sud-Soudan “au début du mois de février”, répondant ainsi à la question d’une étudiante congolaise.
Les jeunes et vieux (près de 3 générations) catholiques et non espéraient sa visite en juillet dernier, avant qu’elle ne soit reportée en raison de son état de santé. “Le médecin l’avait déconseillé, maintenant je peux marcher, avec une canne, mais je me débrouille”,a martelé François.
L’annonce inattendue du report de son voyage apostolique intervenait alors que les préparatifs étaient presque bouclés. Le Vatican avait lui-même dévoilé un programme détaillé de ce déplacement de six jours, au cours duquel le souverain pontife devait se rendre à Kinshasa, Goma (RDC et Juba Soudan du Sud).
Outre l’espoir d’aller au Congo-Kinshasa et au Soudan du Sud en février 2023, le Pape a répondu aux questions des jeunes sur la guerre, les migrations, l’implication dans la vie politique, l’emploi et l’exploitation des ressources.
A chacune de ses réponses, le souverain pontife s’est appliqué à insuffler du courage, pour que les jeunes puissent vivre le présent, sans être aliénés, pour qu’ils puissent prophétiser l’avenir sans perdre la capacité de cultiver les rêves, qu’ils gardent constamment la conscience d’être un fruit généré par une racine.
C’est de cette manière que l’on peut résumer le message partagé au cours d’une heure et demie de conversation avec les jeunes étudiants des universités africaines connectés en visioconférence sur le thème : “Construire des ponts”.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Jamais un acteur politique n’a été giboyé comme Moïse Katumbi Chapwe. Depuis son retour d’exil, il est sous haute surveillance pour ses ambitions électorales. Son divorce politique avec l’Union sacrée de Félix Tshisekedi n’a fait qu’empirer sa situation. Stigmatisé pour les origines juives de son père, il a subi à la fois plusieurs interdictions de mouvement et des attaques physiques sur sa résidence. Même ses collaborateurs n’échappent pas au châtiment. Et comme prise de finition du pouvoir, la défunte loi Tshiani très mal enterrée vient d’être exhumée des décombres.