“Choqué”, le mot dénote du ton ferme utilisé par Denis Mukwege après la violente répression de la manifestation des médecins du SYNAMED en grève sèche depuis deux mois.
“Choqué”, le mot dénote du ton ferme utilisé par Denis Mukwege après la violente répression de la manifestation des médecins du SYNAMED en grève sèche depuis deux mois.
Denis Mukwege, prix Nobel de la paix et médecin directeur de l’hôpital de Panzi à Bukavu (Sud-Kivu) @Photo Droits tiers
La semaine dernière, le personnel soignant avait pris d’assaut les rues de plusieurs villes du pays pour réclamer l’augmentation des salaires. A Kinshasa, la capitale, ils étaient environ 2.000, vêtus de leurs blouses blanches pour manifester, sur fond de tensions avec la police.
Médecin de son état, le gynécologue estime que « manifester n’est pas un crime et ne devrait jamais être réprimé par les forces de l’ordre ».
Choqué par les images de la violente répression survenue à Kinshasa contre les médecins manifestants du SYNAMED.
Manifester n’est pas un crime et ne devrait jamais être réprimé par la police qui doit garantir aux citoyens le libre exercice de leurs droits fondamentaux, s’est-il exclamé sur Twitter.
Des questions de divergences entre le gouvernement et le banc syndical (notamment les frais de transport et logement des médecins) seront au centre du prochain atelier d’harmonisation entre le gouvernement et le banc syndical.
Plamedi Kibwana, stagiaire IFASIC
Le fils du chef de l’Etat ougandais Yoweri Museveni, Muhoozi Kainerugaba, a affirmé qu’il enverrait des troupes ougandaises pour défendre Moscou en cas de menace “impérialiste”.
Le fonceur Salomon Kalonda a déjà mis le pied à l’étrier en prévision des prochaines joutes électorales. En baliseur, le haut représentant de Moïse Katumbi pour le grand Kivu est arrivé vendredi à Goma et s’apprête à prêcher son mentor.