Le pasteur François Mutombo est excommunié de l’Assemblée chrétienne de Kinshasa (ACK), par l’évêque Pascal Mukuna, pour violation des statuts qui régissent l’Église et surtout pour son comportement récidiviste, lequel est contraire aux positions prônées par sa hiérarchie.
Le pasteur François Mutombo excommunié de l’Église ACK
Le pasteur François Mutombo excommunié de l’Assemblée chrétienne de Kinshasa @Photo Droits tiers.
publié le 22 août 2022 à 12:30:00
Après plusieurs mises en garde, l’évêque Mukuna a finalement mis ses menaces à exécution, en prononçant l’excommunication définitive du pasteur Mutombo (Voici l’homme) de l’ACK Kalembe-Lembe, une extension de la communauté des Assemblées chrétiennes de Kinshasa.
Lire aussi :
Le pasteur Espérance Mbakadi à Luanda pour la conférence de formation des serviteurs de Dieu
Dans un communiqué lu par un des responsables de cette église, il a été mentionné plusieurs griefs retenus à la charge de l’ex-responsable de l’ACK Kalembe-Lembe. Il s’agit notamment du refus total de communiquer avec la communauté, et plus grave, la création des assemblées parallèles sous le label du groupe d’intercession “JBB”.
Pascal Mukuna a, par ailleurs, déploré les dérives de son fils spirituel, François Mutombo, qui s’est montré, à maintes reprises, désobéissant à l’endroit de ses supérieurs, en effectuant des déplacements sans en informer ces derniers. Le cas de ses récentes absences au pays dont la hiérarchie n’avait même pas été informée de la gestion de l’église pendant son absence.
En outre, la communauté de l’ACK a informé ses fidèles et pasteurs que rien ne sera réclamé au pasteur François Mutombo comme patrimoine de l’église. Pascal Mukuna laisse seul Dieu jugé son-ex bras droit et fils de l’ACK.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Sécurité
Une quinzaine de personnes ont été tuées ces deux derniers jours par deux groupes armés en Ituri, province du nord-est de la République démocratique du Congo où, selon l’ONU, plus de 300 civils ont été massacrés depuis début décembre, a-t-on appris jeudi de sources locales.
