Les élèves de 8ème année de l’enseignement de base prennent part depuis jeudi et ce conformément à la Loi-cadre de l’enseignement national, aux épreuves du Test national de sélection et d’orientation scolaire et professionnel (TENASOSP).
Les élèves de 8ème année de l’enseignement de base prennent part depuis jeudi et ce conformément à la Loi-cadre de l’enseignement national, aux épreuves du Test national de sélection et d’orientation scolaire et professionnel (TENASOSP).
Lancée jeudi 14 juillet par le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Tony Mwaba, au Lycée Tuendeleye, à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, cette première édition a enregistré 1.330.286 candidats dont 601.568 filles et 728.718 garçons qui y participent sur toute l’étendue du territoire national.
Ce test qui gère le flux des élèves à la sortie de la 8ème année, n’est autre qu’une évaluation du niveau de connaissances scolaires permettant de détecter les aptitudes psychologiques avant l’orientation des finalistes de l’éducation de base vers leurs vraies filières aux humanités ou cycle court professionnel « en adéquation avec ses aptitudes et ses aspirations ».
Le ministre Tony Mwaba a, à cette occasion, insisté sur la détermination du gouvernement à assurer au système éducatif congolais « une gestion de proximité qui permet de palper du doigt les réalités de terrain et de résoudre, chaque fois, les problèmes qui bloquent le bon fonctionnement de nos entités scolaires ».
La cérémonie de lancement de cette première édition s’est déroulée en présence du gouverneur du Haut-Katanga, Jacques Kyabula Katwe, du secrétaire général à l’EPST, de quelques membres du syndicat des enseignants ainsi que du conseiller spécial du chef de l’État en charge de changement des mentalités.
Depuis quelques semaines, le rond-point Huileries, situé entre les communes de Kinshasa et Lingwala dans la capitale, avait revêtu sa plus belle robe de façon spectaculaire, passant d’un centre de décharges des immondes à un beau site décoré et agréable à voir.
La présence du chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, avait même été annoncée au port maritime de Boma pour la réception de trois premiers navires. C’était donc du sérieux. Hélas, pratiquement 5 ans se sont écoulés. Avis d’experts, les grands transporteurs mondiaux, dont Maersk, CMA-CGM, PIL, feraient subtilement blocage.
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