Au début de ses vacances parlementaires (donc le 16 juin), l’infatigable élue de la Funa et son partenaire privilégié ont effectué une visite d’inspection sur le site pour des études de terrain.

“Pour moi, les vacances parlementaires veulent dire qu’il faut aller vers ceux qui t’ont élu. Je sais qu’ici à Kimbangu les gens ont besoin de moi”, a-t-elle lancé pour justifier sa présence dans cette contrée de Kinshasa.

La présidente du regroupement politique A2R a reconnu que l’actuel pont construit par sa Fondation en 2017, ne répond plus, avec le temps, aux normes requises. C’est ainsi qu’elle est allée à la rencontre de son partenaire pour trouver des solutions durables.

“En 2017, j’ai construit un pont mais il ne répond plus aux normes pour faciliter la circulation de la population. Et surtout que j’ai déjà eu à le réparer déjà, voire même en début de l’année en cours. Je me suis dis après, au lieu de continuer avec la réhabilitation, mieux vaut chercher des partenaires pour nous aider à construire un pont qui répondra aux normes et va durer. Voilà pourquoi j’ai sollicité l’appui de nos frères de l’Église des saints de dernier jour pour le bonheur de nos citoyens de Kimbangu afin que les eaux de la rivière Kalamu ne puissent plus déborder dans leurs maisons. Je suis venue avec mes partenaires, et nous avons visité le pont en question avant le lancement des travaux (…)”, a expliqué Henriette Wamu.

L’un des responsables du service humanitaire de l’Église de Jésus-Christ des saints de dernier jour a martelé sur le caractère évaluatif de leur visite sur le pont en rapport avec la demande de la parlementaire.

“Nous sommes l’Église de Jésus-Christ des saints de dernier jour et nous œuvrons dans le cadre du service humanitaire. Nous sommes venus avec Madame Henriette Wamu pour évaluer la demande qu’elle a faite dans notre département pour jeter un pont durable en béton qui va relier beaucoup de quartiers dans la commune de Kalamu”, s’est-il exprimé.

Le pont moderne qui sera construit va faciliter la circulation aux populations des communes de Kalamu, Makala et Ngiri-Ngiri afin que les Kinois de cette contrée connaissent moins de soucis domestiques, car victimes de multiples inondations.