Le ministère du Numérique recrute les Startups pour représenter la RDC au Salon Viva-Technology (VivaTech) à Paris du 15 au 18 juin 2022.
Le ministère du Numérique recrute les Startups pour représenter la RDC au Salon Viva-Technology (VivaTech) à Paris du 15 au 18 juin 2022.
Le ministre du Numérique, Eberande Kolongele Casimir. @Photo Droits tiers
L’appel à candidature lancé il y a quelques jours prendra fin le dimanche 23 mai 2022 prochain. Les intéressés sont conviés à postuler sur le site web du portefeuille : Numérique.gouv.cd/viva-tech.
Cette sixième édition se tiendra sur quatre jours avec trois journées dédiées aux professionnels visant à valoriser notamment les échanges business et une journée ouverte au grand public.
Malgré le contexte sanitaire, le plus gros salon européen de la tech, organisé par Publicis et “Les Echos”, a pu attirer du monde lors de l’édition 2021. Près de 140.000 visiteurs dont 26.000 présents physiquement à la porte de Versailles, à Paris. Les 114.000 restants ont donc assisté aux différentes conférences, mais aussi aux ateliers et pitchs de start-up uniquement en ligne.
Dédié aux innovations numériques, le salon Vivatech, qui s’est tenu l’an dernier à Paris du 16 au 19 juin, avait fait la part belle à la tech africaine. La RDC y était bien représentée par les ministres des PT-NTIC, Augustin Kibasa et du Numérique, Eberande Kolongele.
Pour ce secteur en pleine croissance en Afrique (et en RDC), le gouvernement congolais, en collaboration avec la Banque mondiale, veut injecter 100 millions de dollars à terme dans le numérique.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le dossier Fortunat Biselele continue de faire couler encre et salive. Après le rejet de la demande de liberté provisoire introduite par l’ancien conseiller privé du chef de l’Etat le 6 mars dernier, ses avocats conseils en ont introduit une autre, doublée cette fois-ci d’une demande d’autorisation pour aller se faire soigner, dans la mesure où son état de santé devient de plus en plus alarmante.