Sur Twitter, le leader du parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) a rendu hommage aux professionnels de médias qui informent les citoyens au quotidien.

De même, le membre du présidium de la coalition Lamuka salue leur travail, car dit-il, ils militent pour que les dirigeants répondent de leurs actes. Ainsi, a-t-il souligné, la liberté des médias constitue le fondement même de la démocratie dans un État.

“En cette Journée mondiale pour la liberté de la presse, j’exprime ma gratitude envers les journalistes de la RDCongo et du monde entier qui informent les citoyens et veillent à ce que les dirigeants répondent de leurs actes. Les médias libres sont le fondement de la démocratie”, s’est exprimé l’ancien candidat à la présidentielle de 2018.

Les Nations unies ont fait du 3 mai la « Journée mondiale de la liberté de la presse », avec ce thème en 2022 : “Le journalisme sous l’emprise du numérique”.

La journée est célébrée chaque année pour informer la communauté internationale que la liberté de la presse et la liberté d’expression sont des droits humains fondamentaux. Elle rappelle également aux gens que beaucoup de journalistes affrontent la mort ou font face à la prison pour apporter des nouvelles quotidiennes au public.

Contexte historique

La Journée mondiale de la liberté de la presse a été créée par l’Assemblée générale des Nations unies en décembre 1993 en tant que prolongement du séminaire sur la promotion d’une presse africaine indépendante et pluraliste. Ce séminaire avait eu lieu en Namibie en 1991. Il avait conduit à l’adoption de la déclaration de Windhoek sur la promotion des médias indépendants et pluralistes.