Félix Tshisekedi a parlé du climat des affaires et des investissements mardi à l’Expo Dubaï 2020, comme le principal combat de son gouvernement.
Félix Tshisekedi a parlé du climat des affaires et des investissements mardi à l’Expo Dubaï 2020, comme le principal combat de son gouvernement.
A Dubaï Expo 2020, Tshisekedi vante les opportunités de la RDC @ Photo Droits tiers
Beaucoup d’efforts ont été fournis et les investisseurs peuvent se dire heureux aujourd’hui de s’installer au Congo-Kinshasa. Le président congolais s’est exprimé à l’ouverture de la journée nationale dédiée à la République démocratique du Congo.
“(…) L’amélioration du climat des affaires et des investissements constitue le cheval de bataille du gouvernement de la République démocratique du Congo”, a-t-il martelé.
Le chef de l’État congolais a rappelé également que la 6ème édition du Global business forum African tenue à Dubaï a permis de stimuler les opportunités commerciales en Afrique. P, rappelle-t-il.
Pour l’ex-président de l’Union africaine, l’occasion est aussi propice de présenter les opportunités d’investissements ainsi qu’une partie du patrimoine immatériel congolais à ce grand rendez vous mondial.
Dans le pavillon de la RDC, plusieurs secteurs sont retenus durant cette journée, à savoir : l’environnement, l’agriculture, la pêche & l’élevage, l’énergie, les hydrocarbures, les mines, le tourisme, l’industrie, les infrastructures, les PME et la culture et arts.
Les femmes politiques, futures candidates aux élections de 2023, ont été édifiées sur les stratégies pour se faire élire en décembre prochain. Elles ont participé à un atelier de réseautage organisé samedi 18 mars sous le thème : “les stratégies pour gagner les élections” par Journalistes de droits humains (JDH-JHR/RDC), en collaboration avec l’Union congolaise des femmes des médias (UCOFEM). Les travaux s’inscrivaient dans le cadre du projet : “Canada monde : voix des femmes et des filles”.
Le procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’était déjà prononcé sur le dossier par sa réquisition d’information du 09 mars dernier, en faisant recourt à l’Inspection générale des finances (IGF), au Bureau technique de contrôle (BTC), à la Brigade judiciaire et à la Coordination nationale de la Police judiciaire pour enquêter sur les dépenses des fonds alloués aux travaux de différentes infrastructures exécutés dans le cadre du contrat chinois. Au cours de la 91e réunion du Conseil des ministres, le vendredi 17 mars dernier, Félix Tshisekedi, a démontré qu’il lit et écoute ses services, notamment les rapports révélateurs de l’inspection générale des finances (IGF).