Décidément, les performances de Manzila donnent des insomnies à ses détracteurs. Il ne se passe pas un jour sans que les attaques parfois les plus absurdes ne visent le DG a.i de l’OGEFREM.
Décidément, les performances de Manzila donnent des insomnies à ses détracteurs. Il ne se passe pas un jour sans que les attaques parfois les plus absurdes ne visent le DG a.i de l’OGEFREM.
Ayant échoué à ternir l’image du management modèle, performant et innovant qu’implimente le nouveau patron de l’OGEFREM, des esprits tordus soulèvent depuis quelques jours un débat vide. Ils évoquent la problématique de la bi ou multi nationalité espérant le distraire, dans son combat pour le redressement de l’entreprise.
D’ailleurs dans un passé récent, une loi limitant l’accès à certains postes à une catégorie des Congolais a été déboutée à l’Assemblée nationale car jugée discriminatoire. Il est prouvé que des millions de filles et fils de ce pays, ont, pour des raisons purement administratives et de survie à l’étranger, acquis la double ou même la triple nationalité pour leur intégration sociale et académique.
Sur le sujet, le chef de l’État a été trop tranchant. Il avait clairement jugé inopportun ce débat dont les promoteurs sont souvent parmi les vrais comptables de la décadence du pays. L’expertise n’a pas de couleur, ni de tribu. Pire quand les médias mettent les pieds dans cet engrenage, ça devient très dangereux. On ne peut pas effacer de mémoire des Congolais que la Gécamines avait été dirigée par un sujet zimbabwéen en son temps. Actuellement, un autre établissement public est dirigé par un sujet belge d’origine. En plus, il est notoirement connu que des Sénégalais ont intégré le management de la Regideso et que des Canadiens sont à la SNEL, alors que la SNCC/ SIZARAIL avait été dirigée par des Belges : Patrick Claes, Tshiongo et j’en passe.
Dans un passé récent, une polémique sur la présence au sein du gouvernement congolais des sujets belges n’a abouti à rien. Malgré la clameur publique, rien n’a bougé d’un iota. En haut lieu, le débat a été jugé ridicule.
Et que dire de l’Assemblée nationale et du Sénat qui regorgent autant des bi-nationaux. Au-delà de tout, la loi congolaise, précisément un décret du Premier ministre sur les établissements publics ouvre grandement la porte aux animateurs (mandataires) détenteurs d’une nationalité autre que congolaise. Encore une fois, les mêmes fauteurs de troubles n’ayant rien trouvé à redire dans le chef du manager modèle actuel de l’OGEFREM, ils se rabattent sur une polémique stérile de la nationalité.
Comme ailleurs, le Congo-Kinshasa doit capitaliser le savoir-faire de ces dignes filles et fils qui sont prêts à contribuer à l’avancement de la nation, plutôt que de s’attaquer aux documents de voyage acquis ailleurs souvent par nécessité administrative et académique, et qui ne modifient pas le sang et la loyauté de leurs détenteurs, ni leurs lignées généalogiques.
Le tableau est reluisant à l’OGEFREM. Les indicateurs donnent satisfaction au personnel et au gouvernement. Voilà le péché du DG ai Manzila. Sa réussite fait mal aux réseaux mafieux qui saignaient à blanc les caisses de cette entreprise.
Pour lutter contre les embouteillages monstres qui rendent la circulation très difficile et paralysent parfois les activités socio-économiques, la police de Kinshasa a opté pour l’usage des drones de surveillance.
Trois anciens cadres du PPRD, Henry Magie, Yannick Tshisola et Adam Chalwe ont rejoint la rébellion dirigée par Corneille Nangaa. Les images les montrant vêtus de tenues militaires ont alimenté les spéculations sur les liens étroits entre le parti de Nangaa, AFC, les rebelles du M23 et l’ex-parti présidentiel – PPRD.
Devise | CDF |
---|---|
1 Dollar Usa | 2 758,57 CDF |
1 Euro | 2 991,94 CDF |
1 Yuan | 383,20 CDF |
1 FCFA | 4,56 CDF |