Malgré leurs divergences, quelques principales forces politiques et sociales ont décidé d’unir leurs forces afin d’obtenir la dépolitisation et l’indépendance de la CENI.
Malgré leurs divergences, quelques principales forces politiques et sociales ont décidé d’unir leurs forces afin d’obtenir la dépolitisation et l’indépendance de la CENI.
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CALCC, MILAPRO, CLC, Les Décideurs, FCC, ECiDé, Nouvel Elan, ADD Congo, Ensemble pour la République et la Dysoc demandent au peuple congolais de se lever comme un seul homme pour réclamer l’adoption consensuelle d’une loi organique sur la CENI et une loi électorale en vue de l’organisation des élections crédibles, libres et transparentes, inclusives et apaisées en 2023, conformément à la Constitution.
“Nous informons l’opinion nationale et internationale qu’à partir de ce 24 octobre 2021, des grandes actions citoyennes seront organisées à travers toute l’étendue du pays pour exiger l’indépendance, la dépolitisation et la non instrumentalisation de la CENI en vue des élections crédibles, libres, transparentes, inclusives et apaisées”, ont-ils indiqué.
Ces organisations réaffirment que le blocage et la crise actuels sont le fait du régime Tshisekedi qui, selon elles, refuse l’indépendance de la CENI et veut prendre toute une nation en otage. Elles soutiennent par ailleurs que, le consensus constitue la seule et unique voie pour restaurer la confiance entre les acteurs et éviter l’implosion du pays.
CALCC, MILAPRO, CLC, Les Décideurs, FCC, ECiDé, Nouvel Elan, ADD Congo, Ensemble pour la République et la Dysoc estiment que le processus de désignation et d’entérinement des membres de la CENI a été entaché de corruption, de violation des lois, d’absence de consensus et de manipulation par le pouvoir actuel.
Pendant ce temps, l’équipe Kadima se prépare pour la prestation de serment devant la Cour constitutionnelle. Elle est prévue, ce mardi 26 octobre.
L’inspecteur principal provincial de la division provinciale de l’EPST|Kasaï 1 a été suspendu de ses fonctions pour une durée de trois mois.
Le parti présidentiel est accusé d’inciter les jeunes aux troubles et à la manipulation contre certains leaders de l’Est du pays. Le coup de gueule est du député provincial Prince Kihangi du Nord-Kivu. L’élu de Walikale interpelle le gouverneur militaire sur cette campagne destructrice et incitative à la déstabilisation. L’UDPS/Tshisekedi, fédération de Goma, liste abusivement et sans raison des personnalités supposément de mèche avec le M23, ce qui irrite Kihangi.