“Les militants de NOGEC qui ont marché à Kinshasa et à l’intérieur du pays (Kisangani, Lubao, Nioki, Mbandaka etc.), ont été brutalisés et arrêtés arbitrairement par les forces de l’ordre. Les 25 militants arrêtés à Kinshasa ont tous retrouvé leur liberté. Les journalistes en ont aussi payé les frais, dont Patient LIGODI, correspondant de RFI en RDC”, a-t-il désapprouvé.

Le leader de la NOGEC dénonce la violence policière, le bâllionnement de la liberté de la presse et la liberté de manifester. Aussi, Mutamba déplore la déliquescence de l’état de droit, un état de droit à double vitesse. Pour les partis de l’Union sacrée, les manifestations sont autorisées mais pour les autres, l’interdiction est totale.

Aux côtés d’autres forces politiques et sociales acquises au changement, la NOGEC exige toujours pour la dépolitisation de la CENI et le consensus autour des réformes électorales en cours. A l’occasion, la NOGEC a rendu hommage à tous les Congolais qui ont bravé la peur et suivi le mot d’ordre de l’opposition congolaise. Elle invite le gouvernement congolais à respecter les droits et libertés des citoyens.