Le coordonnateur en exercice de Lamuka, Adolphe Muzito a appris avec pincement au cœur la disparition du cardinal Monsengwo.
Le coordonnateur en exercice de Lamuka, Adolphe Muzito a appris avec pincement au cœur la disparition du cardinal Monsengwo.
La mort est l’effroi des hommes, dit-on. Sur Twitter, l’ancien Premier ministre a reconnu que le décès de l’archevêque émérite de Kinshasa a combattu le bon combat. Au regard de son parcours et sa participation active pour la cohésion nationale, le leader du Nouvel élan estime que la disparition de l’ancien conseiller du pape François est une grande perte pour l’église et la nation.
“C’est avec pincement au cœur que j’apprends la nouvelle de la disparition de celui que les Congolais aimaient appeler Tata cardinal Laurent Monsengwo Pasinya. Il a combattu le bon combat. Son décès est une grande perte pour l’Église et le pays. Paix à son âme”, a-t-il indiqué.
Les témoignages pleuvent depuis l’annonce de la mort du cardinal influent. Les Congolais sont tristes de perdre une bibliothèque, mieux une référence.
A l’archevêché de Kinshasa, le cardinal Ambongo a convié le peuple de Dieu à intensifier les prières pour le repos éternel de son prédécesseur. Le programme des obsèques sera communiqué d’ici peu.
Au pied du volcan Nyiragongo, à une dizaine de kilomètres de Goma au Nord-Kivu, les travaux d’aménagement du site où devait se tenir la messe papale s’étaient arrêtés depuis fin juin. Du chantier ouvert il y a 7 mois, il ne reste que la charpente de la tribune et quelques traçages de la vaste étendue qui était déjà compartimentée en zones.
Le message de François constitue une source d’espoir pour que se tiennent des bonnes élections en décembre prochain, a tranché le cardinal Ambongo.